Connaissez-vous
Comparsanté, le premier comparateur de prix des médicaments ?
Il s’agit principalement des médicaments peu ou pas remboursés vendus dans les pharmacies.
Le principe de
Comparsanté est simple, les internautes s’inscrivent en ligne gratuitement et signalent les prix des médicaments mentionnés sur les boites qu’ils achètent.
Le comparateur s’appuie donc sur une logique participative, de « crowsourcing » puisque ce sont les membres qui déclarent et saisissent eux même les prix constatés sur les boites de médicaments.
Le comparateur rend ainsi compte des écarts de prix au niveau national.
Chaque consommateur devient en quelque sorte un enquêteur à son échelle, puisque il s’agit d’un relevé de prix « terrain » si l’on peu dire, qui par consolidation progressive donnera certainement une image à valeur « barométrique » des prix pratiqués et notamment de certains excès.
Dans un contexte croissant de déremboursement des médicaments et d’économie nationale sur les dépenses de santé, il est aisé de comprendre en quoi ce site va être utile pour les patients, qui comme dans d’autres secteurs seront de plus en plus amenés à « mettre en concurrence les officines.
Ces mêmes Officines qui peuvent pratiquer des marges parfois excessives lorsqu’on constate les écarts sur certain médicaments entre les prix constatés maximum et minimum.
Nous rappelons à ce sujet, que certains médicaments jugés inutiles ne sont plus remboursés, et que d’autres voient leur remboursement tomber de 70 à 15 % de leur base de remboursement.
Les médicaments deviennent donc de plus en plus chers pour les malades et justifient d’autant plus la nécessité d’être couvert par une mutuelle d’une part et de pouvoir comparer les prix des médicaments d’autre part.
Enfin un pas de plus est franchi vers la « Santé 2.0″ où le patient est acteur responsabilisé et avisé sur ce qui demeure un marché à part entière.
Aucun intérêt. Une fois de plus, on mélange les genres en faisant de la démagogie. La marge des officines ne se fait pas sur les médicaments à vignettes blanche. Il reste donc ceux à SMR faible ou quasi-nul, et donc, cela ne peut s’appliquer aux pathologies importantes ou lourdes. N’importe quoi…
la majorité des médicaments délivrés par les officines, en nombre de boîtes et en volume euros sont des médicaments à vignettes blanches pris en charge à hauteur de 65% par l’assurance maladie et non à 70% comme indiqué dans l’article!
Avec le système de tiers-payant le patient ne se rend plus compte du prix des médicaments remboursés directement par les régimes de bases et les complémentaires santé…
Bonjour,
Vous avez tout à fait raison, une erreur s’est malencontreusemement glissée dans le post, il s’agit effectivement de 65 %.
Merci de nous l’avoir signalé.
Bien cordialement
[...] This post was mentioned on Twitter by MutuelleEtAssurance. MutuelleEtAssurance said: Nouvel article: Prix des médicaments, quand comparaison devient raison http://cli.gs/u5Qv5 [...]
les médicaments pour des maladies courantes (contre la grippe, un rhume, des douleurs articulaires, ..) ne sont pas remboursés et en plus, leurs prix varient d’une pharmacie à l’autre. Alors, merci à comparsante.fr pour faire des économies au quotidien.
Dans tous les cas, la comparaison des prix des médicaments est bénéfique pour les patients et clients.
1) Si le médicament est remboursé par la sécu ou la mutuelle, mieux vaut quand même l’acheter moins cher car sinon cela entraine un surcout pour la sécu ou la mutuelle. Cela contribue à l’augmentation des cotisations sociales (sécu) ou de la mutuelle payées par nous les patients. Plus on dépense (en montant des médicaments et en fréquence d’achat) et plus il faut de cotisation en contrepartie pour trouver l’équilibre financier (dépense/recette).
2) si le médicament n’est pas remboursé par la sécu ni par la mutuelle alors le patient a évidemment tout à intéret à choisir le médicament le moins cher à la caisse de la pharmacie…
CQFD !
Il existe aussi un autre site du même type : http://www.comparatifmedical.com
La différence, est que ce dernier est directement mis à jour par les pharmaciens.